septembre 25, 2023

11 thoughts on “Bwegera : il est temps de mettre fin aux violences intercommunautaires dans la plaine de la Ruzizi

    1. Quand il y a absence de l’Etat la population s’apprend en charge
      Voici le conseque du gouvernement provincial qui pense que la province du Sud-Kivu c’est Bukavu seulement . ils oublient que d’autres coins ne sont pas concerné par leur par l’accompagnement

  1. Retenons d’abord que nous sommes de frères et soeurs en christ. Et que nous sommes à l’image de Dieu. En plus de cela la haine en famille ne fait pas la réussite plutôt l’amour fraternelle.

    1. Voilà ce que vous, vous appellez manifestation ?? Un groupe des bandits mains armées et semeurs des troubles qui ont réussi à vandaliser le bureau du groupement et qui voulait ôter la Vie d’un commandant des fardc, vous dîtes qu’ils étaient en manifestation ? Nous devons cesser à toutes ces manipulations politiques et envisager la cohésion sociale.

  2. Le pays est ce qu’il est cher Divin. Il est dirigé par des gens qui ne pensent qu’aux élections et leurs ventres seulement.
    Si nous jeunes nous continuons à soutenir ces vieux au pouvoir donc rien ne changera.

  3. Nous devons ensemble combattre ces manipulations politiques, car c’est de là où proviennent ces discours de haine. Nous sommes un seul peuple et nous devrions nous aimer, vivre ensemble dans une harmonie. Le gouvernement et ses partenaires devraient organiser des activités culturelles pour la cohabitation pacifique

  4. En vrai dire, il ya pas conflit entre les barundi et les bafuliru à bwegera. Nous avons seulement un conflit d’intérêt pour certaines personnes usurpatrices du pouvoir coutumier et qui ne sont pas d’ailleurs bafuliru mais qui se sont métamorphosées bafuliru pour leurs propres intérêts égoïstes. Ces gens sont des vrais semeurs des troubles et ils veulent se cacher derrière le tribalisme en manipulant les jeunes bafuliru pour qu’ils contestent le pouvoir coutumier en place. En revanche, les barundi de la plaine de la ruzizi, ne céderont jamais à leur terre. La chefferie plaine de la ruzizi leur appartient que vous l’acceptez ou pas. Et si vous voulez la guerre, supportez les conséquences.

    Cultivons l’amour et cherchons la paix en envisageant la cohésion sociale.

  5. En vrai dire, il ya pas conflit entre les barundi et les bafuliru à bwegera. Nous avons seulement un conflit d’intérêt pour certaines personnes d’ailleurs qui ne sont pas bafuliru mais qui se sont métamorphosées bafuliru pour leurs propres intérêts. Ces gens sont des vrais semeurs des troubles et ils veulent se cacher derrière le tribalisme en manipulant les jeunes bafuliru pour qu’ils contestent le pouvoir coutumier en place. Ce qui est sûr, les barundi de la plaine de la ruzizi, ne céderont jamais à leurs terre. La chefferie plaine de la ruzizi leur appartient que vous le niez ou pas. Et si vous voulez la guerre, supportez les conséquences.

    Cultivons l’amour et cherchons la paix en envisageant la cohésion sociale.

  6. Alphonse Shukuru Kanana Ngarukiye l’heure est grave. .. qui est cet homme qui peut accepter de perdre son milieu naturel. .. les Barundis sont prêts à signer un pacte avec Lucifer pour leur terre ancestrale.

  7. Que les communautés se respectent , dans le territoire d’uvira il y a 3 chefferies suivant la subdivision administrative héritée de la colonisation qui sont là chefferie des bafuleros, chefferie des baviras , et la chefferie des Barundis (plaine de la ruzizi) , nul n’a le droit de contester l’existence de l’autre. Semons l’amour et non la guerre mes frères

  8. Tout en condamnant les auteurs de ces torchons incendiaires au premier chef desquels se trouvent Monsieur BITAKWIRA BIHONAHAYI Justin,le champion de la promotion de la haine interethnique au Sud-Kivu si ce n’est au niveau national,nous demandons au Gouvernement Congolais d’assumer pleinement son rôle de garantir la sécurité et la protection à tous les citoyens Congolais sans distinction aucune. Shekadi Muliro a raison de dire qu’aucun groupe n’a le droit de contester l’existence de l’autre,et il revient aux autorités compétentes de calmer les ardeurs des uns et des autres et de promouvoir le vivre-ensemble comme la seule alternative à l’effondrement de la Nation Congolaise.

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